Tôt le matin du dimanche 27 juillet lors de l'étape 7 j'ai traversé les Pyrénées via Izpegi vers la France. Comparé aux ascensions que j'ai faites en Espagne, cette ascension n'était pas si difficile. La vue vers la France est à couper le souffle. C'était une atmosphère très spéciale là-haut. Un sentiment de calme m'envahit.
Cycling Adventure 15 (CA15) est mon chemin de croissance personnelle avec lequel je veux inspirer les gens à développer leur propre chemin de croissance personnelle dans ce monde en évolution rapide.
Je rédige mon compte rendu des étapes 6, 7 et 8 de mon deuxième jour de repos à Archiac. je reste dedans B&B La Poule Verte avec Harry et Pauline. La veille de mon arrivée, j'avais vérifié mes besoins logistiques, y compris l'hébergement, pour voir s'il y avait un restaurant à proximité et apparemment je ne m'étais pas préparé correctement. Le restaurant le plus proche dans la zone qui était ouvert était situé à 10 kilomètres. Mais alors quelque chose de fantastique s'est produit. Harry et Pauline proposèrent de prendre le repas du soir avec eux. Ils m'ont demandé ce que je voulais manger et ils ont spécialement préparé un repas adapté à mes besoins sportifs. Nous avons parlé toute la soirée de diverses choses. Harry est originaire du Zimbabwe, alors colonie britannique, et Pauline est originaire d'Irlande. Ils se sont rencontrés au Zimbabwe. Ils m'ont aussi donné des conseils très intéressants sur l'Afrique où je planifie aussi une ou plusieurs saisons. J'ai rarement vu une hospitalité aussi formidable. Même mes vêtements de cyclisme ont été soigneusement lavés. Merci beaucoup Harry et Pauline !
Le samedi 24 juillet lors de l'étape 6, j'ai quitté le monastère de Valvanera au petit matin et j'ai parcouru un long chemin sur la route du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. J'ai rencontré la pèlerine Sonja, une jeune femme allemande, qui était déjà sur la route depuis 30 jours et avait besoin de 13 jours supplémentaires pour parcourir 800 kilomètres jusqu'à la destination finale. Et tout cela avec un lourd sac à dos sur le dos. Elle a échappé à l'agitation de la maison et aiguise sa conscience de la beauté de la vie. Elle a dit qu'elle avait traversé les Pyrénées quand il pleuvait fort et grêlait. Elle est malade depuis un moment. Mais elle persévère et elle y arrivera, m'a-t-elle dit. Merci Sonja pour l'agréable présentation et nous vous souhaitons beaucoup de courage !
J'avais décidé de ne pas regarder les messages d'information, les e-mails ou les réseaux sociaux afin de vivre mon aventure le plus consciemment possible. Mais samedi, j'ai regardé secrètement la course olympique sur route en cours de route. Félicitations à Wout pour la médaille d'argent. Lorsque vous pédalez autant de kilomètres d'affilée, vous réalisez encore plus à quel point ce type est un joueur de classe mondiale. Chapeau bas. Et Wout m'a pardonné d'avoir péché en secret.
Le dimanche 27 juillet lors de l'étape 7 j'ai fait la traversée vers la France. Je trouve le vélo le matin le plus agréable. Il fait encore beau et frais et par temps clair, vous pouvez toujours voir le soleil se lever. Une fois dans l'après-midi, je commence à avoir du mal. Je ne trouve pas la bonne attitude. Et après avoir fait du vélo pendant des jours, des maux commencent à apparaître. Mes mains qui deviennent rouges à force de pousser le guidon pendant si longtemps, l'arrière qui en a marre de s'asseoir sur une selle, le dos qui préfère s'asseoir droit et continuer. Mais après une bonne nuit de sommeil, cela revient généralement.
Une fois en France, il s'est mis à pleuvoir fortement. Mais dans l'après-midi, ça s'éclaircit à nouveau. Vers la fin de l'après-midi j'arrivais à Ychoux dans un petit hôtel. C'était un accueil très impersonnel et froid qui ne m'a pas fait plaisir. Une différence totale avec ce que je vis actuellement avec Harry et Pauline.
Le départ de l'étape 8 était très agréable. Au petit-déjeuner, j'ai rencontré une famille belge de passage au Portugal. Nous avons eu une conversation courte et très agréable.
Je suis parti pour Bordeaux. Je viens de traverser la ville. Jamais de ma vie je n'ai vu autant de feux rouges. Si je m'étais arrêté à chaque feu rouge, je n'aurais probablement pas pris de poids. Bordeaux semble être une ville très agréable à visiter.
Puis il a traversé les nombreux vignobles en direction d'Archiac. Juste avant Archiac je passais l'aéroport de Jonzac-Neulles. Je m'y suis arrêté pour regarder les avions décoller. En attendant, cela fait plus de 8 ans que je vole moi-même. L'avion ne me manque pas mais à un moment comme celui-ci j'aimerais bien décoller et faire un petit tour.
Entre-temps, j'ai parcouru 1470 kilomètres avec 17150 altimètres. Il reste maintenant 4 sorties avant une troisième et dernière journée de repos. J'écris ensuite à nouveau un compte rendu des étapes 9,10,11 et 12. Ceci est suivi de trois autres étapes avant d'arriver à la maison le 4 août. En attendant, êtes-vous curieux de savoir où je séjourne ? Vous pouvez alors me contacter via le piste en direct peut toujours être trouvé sur mon site Web.
Quelques chiffres de l'étape 6 (Anguiano à Almandoz) :
- Température maximale : 36°C
- Température moyenne : 24°C
- 200 km au total
- 2695 mètres de dénivelé
- 175 puissance moyenne
- 104 fréquence cardiaque moyenne
- Vitesse moyenne de 21,5 km / h
- Vitesse maximale de 66 km / h
- 9h22 à vélo
- 12h02 en route
- Brûlé 6783 Cal
Quelques chiffres de l'étape 7 (Almandoz à Ychoux) :
- Température maximale : 29°C
- Température moyenne : 20°C
- 200 km au total
- 1932 mètres de dénivelé
- 170 puissance moyenne
- 97 fréquence cardiaque moyenne
- Vitesse moyenne de 23,2 km / h
- Vitesse maximale de 67 km / h
- 8h37 à vélo
- 10h31 en route
- Brûlé 6053 Cal
Quelques chiffres du stade 8 (Ychoux à Archiac) :
- Température maximale : 37°C
- Température moyenne : 23°C
- 175 km au total
- 1157 mètres de dénivelé
- 174 puissance moyenne
- 98 fréquence cardiaque moyenne
- Vitesse moyenne de 23,9 km / h
- Vitesse maximale de 54 km / h
- 7h20 à vélo
- 9h07 en route
- Brûlé 5241 Cal